Aujourd’hui il apparaît clairement que les Sources de « La Doctrine Secrète » sont authentiquement fondées dans la Tradition tibétaine la plus occulte et la plus protégée qui soit au monde et au cours des siècles.
Cette Tradition recèle elle-même toutes les Annales planétaires, rescapées des « mondes lointains » engloutis[1] et de l’Antiquité méditerranéenne (Égypte et Grèce). Le passé de l’Humanité a ainsi été sauvegardé dans ces sommets enneigés par les Adeptes pour être livré au monde de façon très fragmentaire à la fin du XIXe siècle. Le seul fait que, pendant un siècle, on n’ait même pas pris la peine d’effectuer le rapprochement entre le « rGyud sde » et la mention du « Kiu-Te », déjà effectuée par le Père Della Penna en 1730, en dit long sur la compétence et la bonne foi d’Orientalistes du début de notre siècle. Toutes les « sources » de la Doctrine Secrète se trouvent à présent prouvées par la découverte du fameux livre de Kiu-Té et son identification par le Tibétologue David Reigle ainsi que par l’approche récente qui put être faite — suite au départ forcé des Tibétains vers l’Inde en 1959 — des manuscrits secrets appelés « Kalachakra » qui comportent le fondement de nombreux Enseignements contenus dans la Doctrine Secrète d’H.P. Blavatsky. Mais certains de ces « spécialistes » qui, de nos jours, tiennent audience en France et en Europe, mal à l’aise devant les découvertes de leur homologue, le tibétologue David Reigle, continuent d’ignorer délibérément l’œuvre magistrale de Madame Blavatsky, cette Connaissance sacrée et primordiale, préservée au Tibet et délivrée à l’humanité au siècle dernier par des Adeptes compatissants.[1] Mondes lointains engloutis : la très ancienne Lémurie et surtout la fabuleuse Atlantide qui formait un continent immense dans l’Atlantique, comprenant, dans ses premiers temps, les côtes de Floride, les côtes Est de l’Amérique actuelle, le Mexique et les îles Caraïbes qui étaient encore unies à ce qui correspond à notre Mexique ; L’Atlantide s’affaissa en 4 temps :
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une première fois vers -800.000 ans,
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une deuxième fois, vers -200.000 ans,
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une troisième fois vers -80.000 ans (ne laissant plus qu’une île, immense néanmoins, la Poséidonis à laquelle se réfère Platon dans le Timée),
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une quatrième et dernière fois en 9.564 av. J.C.