« Si cette Doctrine est fausse, elle mourra et s’effondrera d’elle–même, mais si elle est vraie, alors jamais elle ne périra ».
Gamaliel (Kabbaliste et Maître de Saül lequel devint l’Apôtre Paul)
« On jugera de la Théosophie à la lumière qu’elle projette, à la force qu’elle donne, à la chaleur qu’elle répand. ».
« Si notre doctrine[1] répond à des questions sans réponses et donnent des solutions que la religion et la science ne fournissent pas ou se bornent à contourner, c’est que cette doctrine mérite l’attention des hommes qui pensent. »
Marcel Bohrer[2]
[1] c’est-à-dire « ces Enseignements Ésotériques » [2] Marcel Bohrer : « Traité de Théosophie » — Éditions Adyar 1988 – p.7.
Origine et signification de la phrase sanscrite mise en exergue dans le titre de cette page : en décembre 1880, H.P. Blavatsky et le Colonel H.S. Olcott rendirent visite au Maharaja de Bénarès. C’est au terme de cette entrevue, qu’avec la permission du Maharaja, la devise de sa famille « Satyan nasti paro Dharmah » (de Satyan – ce qui Est réellement, la vérité ; nasti, forme négative composée de na — non, et asti – est (être) ; paro – le plus élevé ; et Dharmah – forme nominative de Dharma – la Loi sacrée ou Canon Bouddhique) fut adoptée par la Société Théosophique. Cette sentence fut traduite par : « Il n’y a pas de religion supérieure à la Vérité »…