Témoignage de Marie


Encouragements

Des devises chères à M.K :

« L’impossible c’est seulement ce que nous n’avons pas osé faire »

« Pas de remords ; mieux faire la prochaine fois ! »

« Un jour, nous réussirons, même si c’est au bout de la cinquième fois »


A propos, une Astuce perso pour me donner du baume au coeur, pour m’encourager dans ma pratique quotidienne : j’ai rassemblé dans une petite corbeille  des bouts de papier sur lesquels j’ai inscrit les phrases clé du premier livre de F.B  ( comme par exemple : « Franz Bardon appelle la Bénédiction Divine sur tous ses lecteurs en espérant qu’ils fassent preuve de beaucoup d’amour envers les merveilleux exercices…. » et de M.K (comme celles de ci-dessus).

Et chaque jour, ou quand j’en ai envie, je pioche un de ces bouts de papier (au hasard) ; ainsi j’ai l’impression que ce petit message a quelque chose à m’apprendre au moment où je le pioche et qu’il m’a été envoyé en personne par FRANZ BARDON ; Ainsi j’y attache beaucoup d’importance.

Crédibilité de Bardon et Moryason

Essayons comme Jésus le préconise (lui qui a été capable d’apprécier la beauté des dents blanches sur le cadavre putréfié d’un chien) d’appréhender les aspects positifs du travail de M. Moryason (et de Bardon).

Le docteur M.K dit p. 33 de son livre: « Comment peut-on reconnaître un praticien de l’hermétisme ? Certainement pas à son aspect extérieur! Il vit, travaille, mange, dort et se comporte comme tous les êtres humains mais il est à cent pour cent CONSCIENT»

Tout d’abord M. Moryason, tout comme Bardon de son vivant sur terre,  n’est pas, je suppose qu’un esprit, est a donc par conséquent besoin de se nourrir, de se loger… L’argent, qu’on le veuille ou non est l’énergie que dans nos sociétés modernes actuelles on utilise pour vivre correctement ; et il n’y a pas de mal à ça. L’énergie  doit circuler…

A partir du moment où ce n’est pas en nuisant autrui . Tout travail mérite son dû ; alors pourquoi M. Moryason, sous prétexte qu’il fournit un travail occulte, ne devrait pas être récompensé financièrement.

Pour fournir un travail de qualité, il faut passer beaucoup de temps pour  exceller et aider les autres surtout dans le domaine occulte et dans ce cas, il n’y a plus de place  pour un autre travail qui est censé nous nourrir…on pourrait rétorquer, gagner sa vie c’est une chose, mais M. Moryason la gagne largement et il n’a pas besoin de tout cet argent pour vivre… c’est du vol… et pourtant, peut-être que cet argent lui sert à louer un lieu, acheter des bougies, de l’encens…pour les rituels de dégagement … peut-être qu’il en donne une partie  à des oeuvres caritatives ou autres (je connaissais une voyante en retraite qui faisait ça).

Et puis n’oublions pas que M. Moryason a racheter les droits d’édition des livres de Franz Bardon (et je lui en remercie car grâce à lui, de nombreux chercheurs de Vérité viendront remplir nos rang en accédant  à la version française du livre de Franz Bardon) et je suppose que ça doit coûter beaucoup d’argent…

D’autre part, M. Moryason m’a déjà aidé en urgence pour un « travail théurgique précis », et ce  sur plusieurs semaines, sans rien me demander en échange. Et je suis sure que je ne suis pas une exception.

De plus, je voudrais témoigner en toute sincérité  si cela peut  rassurer ne serait-ce qu’une personne. Je pratique la théurgie au sein d’un groupe et Dieu merci, tout se passe très bien. Je suppose et je souhaite qu’il existe d’autre groupe de la sorte. Notre groupe se réunit 5 fois par trimestre moyennant une somme de 4 fois 150 francs par personne et par an (pour le bon fonctionnement des rituels : location salle, fleurs, encens…)

Tout se passe en toute simplicité, dans la convivialité, la joie et la bonne humeur. Nous sommes peu nombreux et personne n’est contraint par qui que ce soit de venir obligatoirement ; lorsqu’on agit, c’est en notre âme et conscience…

Nous nous   inspirons des rituels de M. Moryason. La Mère Divine et le Christ sont nos invités. Et pendant les rituels, c’est beau, puissant, de sentir tous ces esprits qui tendent vers le même but, donner le meilleur d’eux-mêmes…

En ces moments privilégiés, je pense à la poésie de  M. Moryason :

Hiérophantes, fils d’Osiris le Parfait,
Que reste-t-il de l’École Royale,
Celle de Sirius la Splendide ?

De quels ténèbres ou de mensonges,
A-t-on voilé votre Magie ?
           
Et quand l’Humanité,
Enfant enorgueilli par un savoir précaire,
Jettera-t-elle un regard sur son Illustre Berceau ?

Mais, derrière l’ombre fraîche de vos Temples,
Que les hommes se plaisent à croire éteints,
Vous souriez…car Aset, Isis,
« La Déesse Lointaine… », est toujours vénérée
Sous le Nom de Marie.

Gloire et Amour à la Déesse Éternelle,
Marie la toute Vierge,
Mère de tous les Dieux et Mère de Dieu,
Prêtresse Suprême et Souffle de la Magie.

Je voudrais rajouter que tous  les chemins mènent à Dieu et surtout les plus inattendus. Souvent, les manifestations de Dieu ne sont pas celles que l’on attendait parce que notre ego nous emprisonne.

L’Amour est partout si l’on prend le temps de regarder, de vivre au-delà des apparences sans rien espérer, ni attendre en échange ; si on lâche prise et qu’on se coule en Dieu…A partir d’un moment, il faut dépasser le questionnement
fructueux car il devient stérile, sclérosant ; passons à l’acte en résonance avec notre coeur.

Voici l’histoire que raconte De Mello dans son superbe livre quand la conscience s’éveille et qui doit nous faire réfléchir :

« Un disciple avait fait ses adieux à son gourou et s’était retiré dans une contrée éloignée afin de méditer dans l’espoir d’atteindre l’illumination. Six mois plus tard, il envoya un mot à son maître pour lui faire part de ses progrès. Cette note disait : «  Maintenant je comprends ce que perdre son moi veut dire. » Le gourou  chiffonna la feuille et la jeta  dans la corbeille à papier. Six mois après, arriva une deuxième note : « Maintenant, je suis sensible à tous ce qui vit »  Le gourou jeta la note. Puis il reçut un troisième message « Maintenant, je connais le secret de chacun et de tous » Le message subit le même sort.

Et cela continua ainsi pendant des années, jusqu’à ce que le disciple cesse d’écrire. Mais le gourou, curieux, demanda à un voyageur qui se rendait dans la contrée où s’était réfugié l’élève, d’aller le voir et de venir lui raconter ensuite ce qu’il était devenu. Quelque temps après, il reçut un mot de son disciple : « Quelle importance ? » Alors le gourou s’exclama : « Il y est arrivé ! il y est arrivé !  il y est finalement parvenu ! »

Lorsque je pratique mes prières inspirées de M. Moryason ( qui peut-être lui-même a été inspiré par X, Mais qu’importe), je fais taire en moi mon mental, c’est mon ressenti, , mon coeur qui est à l’écoute ; et pendant ces moments privilégiés, ce n’est pas à M. Moryason que je pense (que fait-il de mon argent… qu’importe ce n’est pas à moi qu’il a des comptes à rendre ; D’où a-t-il pris ses rituels, puis-je lui faire confiance ?)

Non, ce n’est pas à lui que je pense, mais à la Force Universelle ; à cet Amour  si Grand que notre Temple qu’est notre corps, ne peut tout contenir ; à cette Lumière si Puissante qu’on ne peut supporter que sa pénombre. Une partie de cette force est en moi pendant ces moments là et c’est avec elle que je communie, en qui j’ai confiance. Et le reste m’importe peu.

C’est pourquoi, je remercie du fond du coeur la Divine Providence d’avoir mis sur ma route M. Moryason à travers son merveilleux livre. Car ce livre est pour moi comme une clé qui ouvre le portail menant à une chapelle inexplorée de mon temple. Et pour cela, oui je suis reconnaissante envers M. Moryason. Je lui suis aussi reconnaissante d’avoir traduit les livres de Franz Bardon.

Et s’il m’arrive de fermer le portail de ma chapelle, en ne pratiquant pas pendant un certain temps, au fond de moi, je sais que je me punis moi-même. Mais Dieu merci, cet exil ne dure jamais très longtemps. Et alors, je renais de mes cendres.

 
 
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